Depuis quelques temps déjà, nos chênes indigènes - particulièrement le chêne pédonculé - présentent des signes de
dépérissement qui vont en s'aggravant. Les causes en sont multiples même si souvent l'inadéquation stationnelle en reste la plus importante. Les changements climatiques en cours et notamment les modifications de la répartition des précipitations entre la période de végétation (tendance à la diminution, sécheresses répétées, etc...) et la période de repos (augmentation du volume et de la fréquence des pluies menant à un engorgement des sols) sont autant de raisons de voir la situation s'accélérer.
Les facteurs peuvent être répartis en trois catégories ainsi qu'en atteste le tableau suivant :
Le symptôme le plus évident est le
taux de défoliation que les arbres peuvent présenter. L'Europe a établi différentes classes de défoliation allant de l'état le moins atteint (O) jusqu'à l'arbre mort (4)
|
(c) CDAF - Chimay |
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire