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jeudi, mai 31, 2007

qui ????

Mr et Mme "Saucesurmesfrites" ont un fils.
Comment se prénomme-t-il ??




je deviens fou, je pense...ou bien est-ce la fatigue ?

les pensées de Jennifer....

S'il vous reste quelques minutes non consacrées aux révisions indispensables, et si la notion de forêt résiliente, à peine évoquée au cours, vous semble devoir être approfondie, allez franchement vous perdre un instant sur ce lien....

Autant savoir...comme dirait l'autre

  • La dose létale 50 ou DL50 (LD50 en anglais pour Lethal Dose 50) ou CL50 (concentration létale 50) est un indicateur quantitatif de la toxicité d'une substance.

  • Cet indicateur mesure la dose de substance causant la mort de 50 % d'une population animale donnée (souvent des souris ou des rats) dans des conditions d'expérimentation précises. C'est le poids de substance nécessaire pour tuer 50 % des animaux dans un lot. Elle s'exprime en milligrammes de matière active par kilogramme d'animal. Plus ce chiffre est petit, plus la substance est toxique. Cette dose n'est valable que pour une espèce précise (le plus souvent le rat) et un mode d'introduction précis dans l'organisme (ingestion, inhalation, application cutanée). Notons toutefois que la DL 50 peut varier, parfois fortement, en fonction du solvant utilisé ainsi qu'en fonction du sexe de l'animal. Ces chiffres ne sont pas directement extrapolables à l'homme.
    Autour de 50 % de mortalité, de toutes petites variations de dose donneront de grandes variations dans le pourcentage de morts, ce qui a fait retenir cette valeur clé de 50%.

  • La DL 50 est le plus souvent exprimée pour une ingestion orale chez le rat. La DL 50 mesurée par application dermale chez le lapin donne une information complémentaire sur le danger d'une substance. La valeur par ingestion est le plus souvent plus faible que la valeur dermale.

  • Ces mesures ne donnent toutefois qu'une idée partielle de la toxicité d'une substance, à laquelle il faut rattacher l'existence ou non d'un antidote. Ainsi, le parathion éthyl, malgré une DL 50 orale aiguë de 3,6 mg/kg, est relativement moins dangereux que le paraquat (DL 50 de 236 mg/kg) car il existe un antidote efficace contre le premier mais aucun contre le second. Il est commun d'affirmer que les pesticides ayant une DL 50 orale inférieure à 50 mg/kg constituent des substances chimiques extrêmement toxiques pour l'homme.
    Dans la pratique, il est également important de connaître la DL 50 du produit commercial utilisé. Celle-ci est calculée à partir de la concentration de la matière active dans la formulation au moyen de la formule suivante : Toxicité de la formulation (en mg ma/kg) = (DL 50 matière active x 100) / % matière active de la formulation

In extenso de Wikipédia
Il faut bien avouer que ces renseignements dépassent -et de loin- ce qu'il nous est demandé de connaître.

samedi, mai 19, 2007

Voici donc un peu de lecture pour les (trop) longues soirées de révision :

Vous m'en direz des nouvelles....

mercredi, mai 16, 2007

Espaces naturels

Cette revue fort intéressante propose ses 14 premiers numéros en téléchargement.
On y parle d'espaces naturels, de forêts, de corridors écologiques mais aussi du contrôle de la fougère aigle, etc etc

jeudi, mai 03, 2007

Adoxaceae

Selon ce bon Peter (ça ne te dérange pas que je te tutoie, Peter?), Adoxa est seule dans sa famille.
Désolé, Peter, mais c'est faux.
D'abord, Adoxa est seule dans son genre dans nos contrées, ça c'est vrai, mais il y a d'autres contrées en ce bas monde.
Ensuite, Viburnum et Sambucus ont abandonné les caprifoliacées pour rejoindre les adoxacées!!

mercredi, mai 02, 2007

La gaume et ses cuestas

Une rapide explication du sous sol et du relief Gaumais, si par hasard on vous posait la question à un cocktail!


La Gaume fait partie du bassin de Paris; dans le coin s'étendait une mer qui s'arrêtait contre les Vosges, les Ardennes et l'Eifel. Pendant tout le jurassique, cette mer a déposé force sédiments.
Ces couches sédimentaires ont été inclinées par divers bouleversements géologiques pour former une alternance monoclinale, c'est à dire une succession de couches toutes orientées dans le même sens et avec un angle non nul par rapport à l'horizontale.
Comme un petit dessin vaut mieux qu'un long discours, sans plus attendre je vous dévoile mon oeuvre.


Sur mon dessin, les couches (ou séries de couches) sédimentaires dures sont figurées avec un motif de briques (A); ce sont des grès et des calcaires.
Les couches plus tendres, marnes, schistes et argiles sont colorées en vert (C).
Au fil du temps, l'érosion a sculpté différentiellement les zones dures et tendres, et l'alternance fait que dans les vallées (B par exemple), on a un versant abrupt vers le nord (la gauche sur mon dessin) et doux vers le sud.
Les rivières importantes comme la Semois s'étendent donc d'est en ouest (B), et sont dites orthoclinales (elles sont dans la direction orthogonale au plissement), en creusant ce relief en dent de scie.
Ces crètes asymétriques sont désignées sous le nom de cuestas.