


Ce fut l'occasion de constater l'incroyable diversité des teintes qu'ils présentaient : peu de gris "classique" mais d'innombrables variantes allant du brun foncé à moyen en passant par l'olivâtre pour terminer par une teinte rosâtre absolument spéciale (mais j'ai loupé ma photo.....)
Impossible de se tromper quant à l'identification : la pupille horizontale, l'iris or, la peau pustuleuse, les glandes parotidiques enflées, les doigts arrière entièrement palmés et la marche bien sûr (pour ceux qui n'étaient pas encore à l'eau !)


1 commentaire:
last minute : P. trochilus a rejoint son cousin collybita...
Ouï ce matin au Martinet et depuis un peu partout !
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